C'est ce que ma muse en travaillant pourchasse |
RÉGNIER
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Sat. VI |
pourchasser |
Les soeurs disent le chapelet en travaillant |
BOSSUET
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Règl. |
chapelet |
En travaillant pour le monde, vous avez semé dans une terre ingrate |
BOURDALOUE
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Sur la récomp des saints, 1er avent. p. 21 |
ingrat, ate |
Qui, bien loin d'être touchés de la perte d'une âme, affectent d'y contribuer positivement, y travaillant de dessein formé.... |
BOURDALOUE
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Sur le scandale, 1er Avent, p. 101 |
dessein |
Vous savez comment je vivais chez nous, toujours travaillant, labourant ou façonnant ma vigne, et chantant la vendange ou le dernier sillon |
COURIER
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2e lettre particul. |
façonner |
La délicatesse et la mollesse étaient portées si loin [à Sybaris], qu'on écartait sévèrement de la ville tous les ouvriers qui faisaient trop de bruit en travaillant |
ROLLIN
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Hist. anc. Oeuvr. t. III, p. 476, dans POUGENS |
mollesse |
Je portais toujours avec moi quelque livre qu'avec une peine incroyable j'étudiais et repassais tout en travaillant |
ROUSSEAU
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Conf. VI |
repasser |
Je suis flexible comme une aiguille et vif comme un lézard, et travaillant toujours comme un écureuil |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 22 oct. 1759 |
écureuil |
Je n'ai point cette roideur d'esprit des vieillards ; je suis flexible comme une anguille, et vif comme un lézard, et travaillant toujours comme un écureuil |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 22 oct. 1759 |
flexible |
La mortalité prodigieuse des ouvriers [travaillant à Versailles], dont on remporte toutes les nuits, comme de l'hôtel-Dieu, des charrettes pleines de morts ; on cache cette triste marche pour ne pas effrayer les ateliers |
SÉVIGNÉ
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12 oct. 1678 |
marche [2] |
Je n'ai point cette raideur d'esprit des vieillards, je suis flexible comme une anguille, et vif comme un lézard, et travaillant toujours comme un écureuil : dès qu'on me fait apercevoir d'une sottise, j'en mets vite une autre à la place |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 22 oct. 1759 |
vieillard |
Est-ce qu'en travaillant pour elles, vous travaillez pour l'amour d'elles ? |
MAINTENON
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Lett. à Mme de Viefville, 20 juin 1708 |
pour [1] |
Raton [Voltaire travaillant à une réponse à Guénée] joue actuellement avec la souris nommée Guénée ; mais ses pattes sont bien faibles ; je ne sais si ce combat du chat et du rat d'église pourra amuser les spectateurs ; le parti du rat est bien fort, il est toujours prêt à étrangler Raton ; et on voudrait le prendre dans sa chatière, si on ne disait pas quelquefois que ce n'est pas la peine, et que Raton est mort ou autant vaut |
VOLTAIRE
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Lett. à d'Alembert, 18 nov. 1776 |
chatière |